AHarvest of Death (La moisson de la mort) est le titre d'une photographie de Timothy O'Sullivan.Réalisée entre le 4 et le 7 juillet 1863, elle montre les corps de soldats morts, à Gettysburg, lors de la guerre de Sécession.. Elle résulte d'un projet photographique singulier, celui de l'entrepreneur Mathew Brady.Cependant, lorsqu'il photographie le champ de bataille
28/11/2019 0031 La masturbation est-ce un péché selon la Bible ? » Réponse La Bible ne mentionne jamais explicitement la masturbation et ne dit pas s’il s’agit d’un péché. Le passage des Écritures le plus souvent mentionné à ce sujet est l’histoire d’Onan en Genèse Certains se basent sur ce passage pour affirmer que perd[re] sa semence » à terre est péché, mais ce n’est pas exactement ce qui est dit Dieu a condamné Onan, non pas pour avoir perd[u] sa semence, » mais pour avoir refusé de s’acquitter de sa responsabilité de donner un héritier à son frère. Ce passage ne parle donc pas de la masturbation, mais de responsabilités familiales. Un autre passage parfois cité pour dire que la masturbation est un péché est Matthieu après avoir prêché contre la convoitise, Jésus dit Et si ta main droite te pousse à mal agir, coupe-la et jette-la loin de toi. » Si on peut mettre ce passage en parallèle avec la masturbation, il est improbable que ce soit ce à quoi Jésus fait référence. Si la Bible ne dit pas explicitement que la masturbation est péché, il est clair que ce qui y mène l’est. La masturbation est presque toujours le fruit de pensées de convoitise, de stimulation sexuelle et / ou d’images pornographiques. Ce sont ces problèmes qu’il nous faut résoudre. Si nous renonçons à notre convoitise, à nos pensées immorales et à la pornographie et que nous les surmontons, la masturbation ne sera plus un problème. Beaucoup de personnes se sentent coupables parce qu’elles se masturbent, alors qu’elles auraient en fait bien plus besoin de se repentir de ce qui les mène à le faire. Voici quelques principes bibliques à appliquer au sujet de la masturbation. Éphésiens dit Que l’immoralité sexuelle, l’impureté sous toutes ses formes […] ne soient même pas mentionnées parmi vous. » On voit mal comment la masturbation peut passer ce test. Ainsi donc, que vous mangiez, que vous buviez ou quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu » 1 Corinthiens Si vous ne pouvez pas glorifier Dieu pour quelque chose, renoncez-y. Si vous n’êtes pas pleinement convaincu qu’une activité plaise à Dieu, alors c’est péché Tout ce qui ne provient pas d’une conviction de foi est péché » Romains Nous devons aussi nous souvenir que notre corps a été racheté et appartient à Dieu. Ne le savez-vous pas ? Votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu. Vous ne vous appartenez pas à vous-mêmes, car vous avez été rachetés à un grand prix. Rendez donc gloire à Dieu dans votre corps » 1 Corinthiens 20. Cette vérité fondamentale devrait avoir une influence réelle sur ce que nous faisons de notre corps. À la lumière de ces principes, on peut dire que la masturbation est un péché selon la Bible. Il est clair qu’elle ne glorifie pas Dieu, qu’elle ne permet pas d’éviter l’immoralité et qu’elle enfreint l’appartenance à Dieu de notre corps. Fairel'amour fait partie de l'intime, à tout point de vue. Donner mon corps, c'est l'ordre du cadeau. Alors, il se déballe délicatement. Le bonheur suprême de la vie, c'est la conviction qu'on est aimé, aimé pour soi-même, disons mieux, aimé malgré soi-même. Le suprême bonheur de la vie, c'est la conviction qu'on est aimé; aimé Je suis catholique pas très pratiquant. Je suis victime de paralysie du sommeil et de tremblement ou vibration. Je sens parfois quelque chose qui me touche, me rentre dans la bouche, me prend la main, appuie contre mon ventre ou s’attaque ou niveau du thorax au coeur comme s’il voulait me tuer. De plus il y a des bruits dans ma maison la nuit a des heures précises 1h35 3h35 6h20… Est-ce un fantôme ou un diable ? Je pense que ça ne porte pas bonheur et je voudrais m’en débarrasser pour de bon ! Donc auriez-vous un remède ? Un rituel ou une prière très efficace ? Selon le service d’exorcisme du diocèse de Paris, 85% des personnes se présentant ne relèvent pas de l’exorcisme. Les cas de possession par un démon sont donc très rares. Avant de se croire possédé par un diable, il faut d’abord éliminer les autres pistes. Pour commencer, nous conseillons à l’auteur de la question, avec la plus ferme conviction, de consulter un médecin. Nous n’avons, nous, aucune compétence médicale, mais les symptômes qu’il décrit pourraient bien avoir des causes sanitaires apnée du sommeil, troubles cardiaques avec risques d’AVC, hypertension, problèmes neurologiques, dépression plus ou moins sévère. Donc il nous semble qu’une consultation chez un psychiatre pour prendre en charge ces crises d’angoisse et un examen cardiologique sont le minimum. Rappelons que la dépression est la pandémie de la pandémie » depuis la crise COVID et que 20% des Français en seront atteints à un moment ou un autre de leur vie. Pour ce qui est des bruits dans la maison, les causes naturelles doivent être examinées mauvaise insonorisation, infiltrations dans le toit ou les murs, appareils électriques plus ou moins défectueux, voire présence de souris. Car, pour le reste, rappelons que nous ne dirions pas exactement que les fantômes n’existent pas, mais qu’en revanche, ils ne peuvent pas sortir » de l’Enfer, du Paradis ou du Purgatoire, que ces derniers soient considérés comme des lieux ou des états. Certains voyants ont des apparitions de personnes décédées ou les voient en songe. Mais c’est par permission spéciale du Seigneur et toujours de façon bénéfique. Donc si ces fantômes » provoquent de la désolation et de la peur – ce qui est manifestement le cas ici – c’est que ce ne sont pas des fantômes. Reste l’hypothèse des démons. Mais on ne voit pas de démons comme ça. Un chrétien qui a une vie de prière et sacramentelle normale, ne fait pas usage de stupéfiants ni d’excès d’alcools, n’a aucune pratique ésotérique spiritisme, magie et autre n’a aucune raison d’avoir affaire à des démons dans le monde sensible. L’auteur de la question doit alors s’interroger a-t-il consommé de la drogue ? S’est-il adonné à des pratiques occultes ? Ou fréquente-t-il des personnes qui le font ? Si oui, il doit cesser immédiatement et, autant que faire se peut, cesser d’avoir affaire à ces personnes. Ou en tous cas prendre sérieusement ses distances. Il doit se confesser de toute urgence, le cas échéant. Et, surtout, cesser d’être un catholique pas très pratiquant » pour devenir un catholique fidèle, qui prie et lit la Parole de Dieu tous les jours, va à la messe tous les dimanches et se confesse au moins pour les solennités. C’est le minimum. Prier tous les jours peut se faire avec, par exemple, la Prière à St Michel Archange du Pape Léon XIII, qui est une prière d’exorcisme S’il ne trouve pas d’apaisement, qu’il aille parler à un prêtre. A Paris, le réseau Samuel composé de prêtres et laïcs formés spécialement propose des prières de délivrance en vue de couper certains liens maléfiques. Si rien de tout cela ne permet de retrouver la consolation, consulter l’exorciste du diocèse. Mais le plus important est d’avoir une vie de prière et une pratique des sacrements régulières. parcequ'il n'agit pas par conviction. Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction est péché. Donc, si un croyant mange du porc en pensant que Dieu ne veut pas, alors ce croyant pèche contre Dieu puisque ce croyant pense que le porc est impur dans le sens que c'est un péché d'en manger.Il y a quelques années, une jeune chrétienne de notre connaissance se posait beaucoup de questions sur le port du voile chrétien, question très controversée. Elle avait résolu son problème exégétique en faisant appel au verset de Romains 1423, tout ce qui n’est pas le fruit d’une conviction est péché ». Je n’ai pas la conviction de porter le voile », se disait-elle, par conséquent je ne le mettrai pas, de peur de pécher en le mettant sans conviction ». Cette méthode est-elle fondée ? C’est la question que nous nous posons dans ce 85ème épisode de Coram Deo. Que signifie donc cette parole de l’apôtre Paul Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu’il approuve! Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu’il mange est condamné, parce qu’il n’agit pas par conviction. Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché. » Rm Pouvons-nous utiliser ce passage comme un principe de mise en application biblique » ? Comment comprendre ce passage ? Bonne écoute ! >> Musique Pinocchio, Sifflez Vite Vite >> Prochain sujet Tous frères, mais… qu’en est-il de l’amitié? >> Retrouvez la liste de tous les épisodes ici – – SUIVEZ CORAM DEO Itunes – Souncloud – Google – Stitcher – Ou bien copiez ce flux RSS dans votre application podcast préférée –Lesexcuses de Biolay ne suffisent pas à étouffer la polémique, et c'est le chanteur de Mickey 3D, supporteur des Verts, qui s'est auto Post navigation Previous Article Jésus et la tradition – La fausse religion des hypocrites – Mt Next Article Commentaire sur le Psaume 50 A découvrir Dominique Angers – S’émerveiller d’être ressuscité avec Christ – Ephésiens SERMONS La beauté physique n’est pas synonyme de vertu Sujets Laisser un commentaire Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Toutce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché. (Romains 14:1-6, 10, 12-15, 17, 20-23 LSG) (Romains 14:1-6, 10, 12-15, 17, 20-23 LSG) Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d’une fête, d’une nouvelle lune, ou des sabbats: c’était l’ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ.
Question Je suis chrétien, mais j'ai parfois des doutes. Est-ce normal? Réponse On pourrait simplement définir le doute comme "un manque de foi". Mais un doute à propos de quoi? On peut douter de l'existence de Dieu. On peut douter qu'il s'occupe des hommes. On peut douter qu'il aime les hommes. On peut douter du salut par la foi en Jésus-Christ. On peut douter de son propre salut. On peut douter... de tout, en somme! De même que " croire " n'est pas une clé absolue, car il faut définir en quoi l'on croit! Jacques 219 Tu crois qu'il y a un seul Dieu, tu fais bien; les démons le croient aussi, et ils tremblent. Dans le Nouveau Testament on ne trouve que peu de fois le mot "doute". Voici toutes ces références Matthieu 2817 Quand ils le virent, ils l'adorèrent. Mais quelques-uns eurent des doutes. Ici c'est le doute que se soit réellement Jésus. Marc 1123 Je vous le dis en vérité, si quelqu'un dit à cette montagne Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s'il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir. De la Tite 115 Tout est pur pour ceux qui sont purs; mais rien n'est pur pour ceux qui sont souillés et incrédules, leur intelligence et leur conscience sont souillées. La pensée et son impact sur la réalité Tout ce qui n est pas conviction est pêche maritime De la Citation Saint Paul conviction Tout ce qu'on ne fait pas par conviction est péché.... Tout ce qui n est pas conviction est péché le Parcours vtt bois de changé HLP Nantes – L'autre dimension de la performance Recette 5 15 poitrine de poulet Plat cuisiné de cuisse de canard sauce aux morilles la portion de 220g à Prix Carrefour Tout ce qui n'est pas conviction est péché Attestation de domiciliation de salaire par l employeur pdf Chien fait ses besoins dans la maison la nuit Recette pois cassés indienne la Capture totale fond de teint sérum régénérateur d éclat un Tout ce qu’on ne fait pas par conviction est péché. Bible – Dico – Citations Tite 115 Tout est pur pour ceux qui sont purs; mais rien n'est pur pour ceux qui sont souillés et incrédules, leur intelligence et leur conscience sont souillées. La pensée et son impact sur la réalité citation 1 Tout ce qui n' est pas le produit d' une conviction est péché. de Saint Paul Références de Saint Paul - Biographie de Saint Paul Plus sur cette citation >> Citation de Saint Paul n° 52971 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne 4. 63 /5 sur 466 votes Recherche de citations Tout qui / qui est / est pas / pas produit / produit une / une conviction / conviction péché / Tout est / Tout pas / Tout produit Votre commentaire sur cette citation Cette phrase de Saint Paul contient 12 mots. Il s'agit d'une citation très courte. Tout ce qui n est pas conviction est pêche maritime Un point de vue que ne partage pas du tout la CFDT. Laquelle dit précisément ses craintes, à la fois sur le respect de l'indépendance éditoriale, tout comme sur le projet lui-même, la pérennité de l'imprimerie que le transporteur maritime, en l'occurrence totalement inexpérimenté en matière de presse, prévoit d'installer à Marseille, alors que NJJ avait le projet, depuis 2019 déjà, de construire une imprimerie commune à La Provence et Nice Matin, laquelle s'assurerait des volumes conséquents ». Et de retoquer aussi l'argument d'un possible dépôt de bilan, rappelant que la vente du siège alimente la trésorerie. La CFDT, qui sait être un syndicat offensif dans les filiales de Xavier Niel, notamment de téléphonie, pour défendre les droits des salariés, comprend qu'il engage aujourd'hui des recours contre la décision du conseil d'administration de La Provence d'agréer l'offre de CMA CGM tant les circonstances dans lesquelles cet agrément a été obtenu suscitent de questions auprès des juristes que nous avons consultés ». Celui-ci ne doit-il pas être déterminé par la justice? C'est, en outre, ce que semblait estimer la Cour d'Appel d'Aix-en-Provence - qui a rétablit son droit d'agrément à Xavier Niel en qui stipule dans son rendu que les parties conservent la possibilité de contester en justice l'application qui pourra être faite des dispositions statutaires contestées dans le cadre du présent litige ». Le conseil d'administration et son président, n'auraient-ils pas dû prendre acte des avis contraires et porter le sujet devant les tribunaux, histoire d'être irréprochables? La boussole de l'administrateur est l'intérêt social. La décision sur laquelle il doit se prononcer, en tant qu'administrateur, est, cette décision est-elle contraire ou non à l'intérêt social de l'entreprise? », indique Maître Sylvie Le Damany, avocate associée du cabinet Adaltys. Le conseil est un lieu d'échanges où se confrontent des intérêts divergents, sans pour autant qu'il y ait situation de conflit d'intérêts ». Or, c'est bien cela qu'Avenir Développement défend. Etagere a la coupe du monde Osb 1 ou osb3 Plus belle la vie du 25 mai 2011 relative
QuestionsRéponses : conviction-péché - Chretiens2000. Pourquoi la bible dit que tout ce qui n'est pas fruit de conviction est un péché ? D ieu est le même hier, aujourd'hui et demain, s i on a compris ce qu'il attend de nous. Août est un mois de production musicale pour les artistes malgaches. À part les mêmes têtes qui sortent des titres mensuellement, des chanteurs ont fait leur come-back. Alors voici les dix chansons les plus appréciées par les passionnés de la musique urbaine. Lola et Sakaraha, le slow du mois. Le premier n’est plus à présenter. Depuis Rebika, il était déjà remarqué par les adeptes de la mozika milamina». Ensuite, l’artiste a volé de ses propres ailes, il s’aventure à des rythmes notamment la musique tropicale. Récemment, pour ne pas tomber dans l’oubli, il pose sa voix sur de l’afrobeat. Quant à Sakaraha, un chanteur connu mais pas encore célèbre. Réaliser un featuring avec Lola serait une opportunité pour se montrer officiellement ». Tena namana, le titre de leur nouvel morceau. Comme d’habitude les deux chanteurs évoquent dans leur single la fraternité. Arione Joy, le chagrineux Oui, son ami Rak Roots lui manque. Il a même intégré l’image du défunt dans son nouveau clip Hasambarako, une chanson qui prêche l’amour. Étant donné que ce genre de musique se vend rapidement. Sur la vidéo, on aperçoit la danseuse professionnelle, Ange. Apparemment, Arione Joy a fait appel à une chorégraphe pour illustrer à travers le sixième art ses propos touchants. Arione Joy s’est fait rare ces derniers temps quoi qu’il sorte des titres comme Zany ary et Mariah. Hasambarako lui a permis de reprendre le game entre les mains. Est-ce grâce au chagrin pour son ami ? Kougar est de retour et dit Ataonay milay » Le félin fait son come-back ! Il sort un titre dont l’auteur et le compositeur est le membre du groupe mahaleo, Bekoto. Ataonay milay parle de la vie quotidienne, surtout le fihavanana, tout cela est évoqué avec un cœur ouvert, une attitude positive. Six mois après la sortie de Calin tout doux en duo avec sa protégée ADR, Kougar a presque disparu de la scène musicale. Le semestre était peut-être un moment de recul. Tsota offre du tsara laoka Lui, il produit presque tous les mois, et ne déçoit pas. Il est l’un des rappeurs middle qui se tient toujours debout. C’est normal s’il se pavane. Il écrit des egotrips, sa success story». Il a connu la montée, certainement, il ne veut plus redescendre. Dans Tsara laoka, l’artiste raconte en trois minutes son bonheur. La notoriété et le succès ne se gagnent pas tant qu’on n’a pas travaillé dur. C’est d’ailleurs le message dans le nouveau titre. THT se vante d’avoir Tsara vady » Sorti il y a une semaine, le nouveau morceau du collectif Très Haute Tension a impressionné leurs convaincus. D’habitude on les entend faire du rap, mais cette fois-ci, Farao et ses frères d’armes investissent l’afrogasy. Cependant, la base est conservée. Sphinx a toujours le flow rapide et prononcé, alors que Farao chantonne. Le groupe est comme ces autres artistes qui ont fait l’effet d’une bombe dans un certain temps et disparaissent après quelques années. Ils essayaient de reprendre en sortant le titre Inona aki no idirako, mais la célébrité semble éphémère. Les inconditionnels espèrent un concert inédit de THT, pour qu’ils puissent se relever et écraser la concurrence. Tsy fotsy varavaragna », Stéphanie confirme sa présence Stéphanie, toujours jolie, toujours sexy. Le temps passe mais la belle Bachra ne prend aucune ride. Elle n’est pas démodée non plus. Tsy fotsy varavarana est sorti il y a trois semaines. Ça inonde déjà les ondes. Quand c’est Stéphanie, ça marche. La chanteuse n’atteint pas encore le syndrome de la monotonie comme les autres. En étroite collaboration avec Davalt Record, elle ne produit que de la bonne musique. Madame est au top. C’est le moins qu’on puisse dire ! Wada&Yoongs dit Aoonaaa» à leurs convaincus Ces deux jeunes hommes sont marrants. Tantôt artistes, tantôt influenceurs, ils accaparent tout sur leur passage. Une nouvelle chanson, Aaôonaaaa ! Rappeur au début de leur carrière, ils sont désormais à l’aise sur les mélodies de soukouss, et secouent leurs convaincus avec une secousse d’ambiance inédite. Eux aussi ont trouvé le créneau pour faire bouger la Grande-Île toute entière. Shyn et BoyBlack un duo de Makua Ces deux messieurs ont fait hocher des têtes, couler les encres des journalistes. Leurs voix sont exceptionnelles, leurs textes sont hors pairs, la production est l’une des meilleures à Madagascar. Membres de la team Makua Entertainment, ils sont talentueux. Cette fois-ci le protecteur et le protégé réalisent un duo, Faya. Qui dit chanteurs de rnb, dit chansons d’amour, Faya relate la déception d’un homme envers une femme inconsciente de la vie. Basta Lion ft Sanjela du Make big-Nosy» Basta Lion est fidèle à sa conviction. Le ragga-dancehall est son terrain de prédilection. Il est le prince, couronné depuis 2015 par ses compères. Rien à dire sur ce bonhomme. Il est là ». En ce qui concerne Sanjela, la Dancehall Queen, elle commence sa carrière. Elle essaye de s’imposer. Après sa collaboration avec Jaovavy, elle choisit Basta Lion comme petit mentor. Sanjela fera face à la concurrence. Vu son allure, elle pourrait s’en sortir ! Ljo, Za maka anao Ljo, la révélation ! Le jeune homme est au top de sa forme. La nouvelle chanson gagne les cœurs des adolescents. Avec un clip rétro, Ljo frappe fort. Il a le talent dans le sang. Sans vouloir exagérer ! Iss Heridiny 085- Tout ce qui n'est pas une conviction est péché 2.8K Que signifie donc cette parole de l’apôtre Paul : « Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu’il approuve! Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu’il mange est condamné, parce qu’il n’agit pas par conviction. Les premières lueurs du soleil commencent à se glisser par-delà les montagnes à l’Est de Chengdu. Elles laissent entrevoir le combat sanglant de la veille. Des corps carbonisés ou brisés au pied de nos murs gisant là comme preuve de notre victoire temporaire. Les rizières ont été asséchées par les flammes et les destructions causées par l’armée d’envahisseurs. Un vaste champ cramoisi s’étend désormais devant notre cité. Du haut de nos remparts, les défenseurs de l’ordre et de la paix se tiennent prêts à repousser l’attaque finale de Jiawei Dajisi. Galvanisés par notre victoire nocturne, ceux qui ont été épargné par le feu, les flèches et les combats sont encore là, renforcés par les hommes de Lin Meng que nous avons décidé de déployer au front plutôt que dans le centre-ville. J’ai également revu notre chaîne de commandement. Lors de l’assaut nocturne, je devais donner les ordres pour tous les commandants c’est une erreur. Je ne peux être et voir partout à la fois. J’ai confiance en ces hommes pour faire les meilleurs choix lors de cette bataille, leur seule consigne suivre ma bannière où qu’elle aille et obéir lorsque ma voix leur parvient. Francis garde ma droite, Harch la gauche, Xupeng dans la cour comme précédemment. Lin Meng reste en soutien avec notre eunuque pour l’instant. Je veux un homme jeune et dynamique au cas où la porte serait menacée. Le silence règne pour le moment, un certain calme avant la tempête. Seules les bannières flottant sous le vent du matin émettent un doux son nous susurrant à l’oreille le début prochain de la plus grande bataille à laquelle j’ai assisté dans ma vie. Au vu de l’avidité de nos ennemis, il est certain que cela devrait être… Violent. Des bandits, des mercenaires et des fanatiques de je-ne-sais-quoi ! Voilà donc l’étrange assortiment d’hommes et de femmes qui vont tenter de franchir nos remparts pour prendre notre ville. Ces êtres méprisables ne rencontreront que notre fureur et nos épées et nos flèches guidées par la sagesse de nos ancêtres. Ceci est notre foyer et il ne tombera pas. Tant que les Song sont là, Chengdu sera protégée. Les ennemis se sont mis en ligne. Il est facile de dissocier les différents groupes composant cette masse hétéroclite, chacun a ses couleurs et ses propres armures. J’aperçois à peine au loin plusieurs personnes à cheval, certainement Jiawei et ses commandants. Ils se cachent au niveau des petits engins de siège qu’ils ont réussi à construire – ou apporter ?- pendant la nuit. De vieilles planches de bois bancales qui ne devraient pas nous poser trop de seul élément qui m’inquiète ce sont les deux tours de siège qu’ils ont en réserve. Comment ont-ils pu les construire en quelques heures ? Il doit y avoir une explication là-dessus une réponse que j’obtiendrais plus tard lorsqu’ils seront tous morts ou emprisonnés. Ils ont aussi plusieurs échelles. Manifestement les cordes de la nuit dernière étaient les seules qu’ils avaient pour leurs enfilé mon armure correctement cette fois-ci. J’ai également décidé de me battre avec un arc et des flèches. Je dois pouvoir faire quelque chose sans user tout le temps de mes pouvoirs. Cela peut toujours servir, sait-on jamais contre qui je vais combattre aujourd’ me tourne vers Francis. J’hoche légèrement la tête. Tambours les gars. » dit-il sobrement. Dans la tour où je me trouve, des battements se mettent à résonner dans l’air. Les tambours de guerre chinois se réveillent pour battre la cadence des futurs combats. Les hommes entendent ces sons comme un appel aux armes mille fois plus efficace qu’un discours de n’importe quel commandant. C’est comme si nos cœurs battaient désormais à l’unisson. Un premier cor se met à retentir dans le champ cramoisi en réponse. L’armée ennemie se met en marche de bataille. Ils avancent plus ou moins au même rythme vers nous. Ils n’ont pas de bannières. Seulement des armes et de l’or en poche. Ils ne se battent ni pour l’honneur, ni pour la gloire… Uniquement pour l’argent. Je suis curieuse de voir combien de temps ils vont tenir avant de battre en retraite et d’abandonner la prêtresse à son funeste sort. Ils ne connaissent et ne vivent que par la peur. Nous allons leur donner ce qu’ils méritent en ce cas. Francis. - Oui ? - Est-ce que tu penses que nos ennemis ont peur de nous ? - Pas assez manifestement mdr. - C’est exactement ce que je me disais. »Je tourne mon regard vers les envahisseurs, attendant qu’ils soient à peu près à porter de tirs de catapultes. Une fois que je pense que c’est suffisant, j’esquisse un très léger sourire sur mon visage. Francis. - Ouaip Chef ? - Relâche nos ennemis de cette nuit qui n’ont pas été Hé ! Hé ! Avec plaisir chef ! » Il se tourne vers Xupeng dans la cour derrière la porte. CATAPULTES ! » crie t-il. Le vacarme des mécanismes des engins résonne jusqu’à nos oreilles accompagné du rythme des tambours. Bientôt, une volée de petits projectiles transperce le ciel pour s’abattre légèrement sur les ennemis avançant dans notre direction. De petits impacts de font entendre sur leurs boucliers tandis que certains crient de surprise face à l’horreur que nous venons de déverser sur eux. Envoyez la dernière CATAPULTES, FEU ! »De nouvelles têtes passent au-dessus des nôtres pour rejoindre le champ dévasté devant la porte sud. Une nouvelle série d’exclamations s’ensuit parmi nos ennemis. Voici votre destin messieurs. Vous allez mourir ou être jugés comme les misérables que vous êtes. Combattre est inutile, vous avez déjà perdu. Bien sûr, nous n’avons pas vraiment une supériorité numérique face à eux mais… Je préfère aborder la bataille de cette manière. Qu’importe ce qu’ils lâcheront sur nous, nous tiendrons. J’ai dit que je protégerai cette ville et je compte bien le faire. Archers !- ARCHEEEEERS ! - Archers prêts à tirer ! » Les arcs se dressent de notre côté tandis que les ennemis reçoivent une première salve de tirs de catapultes… Cette fois-ci, ce sont des rochers enflammés. Bientôt, leurs engins de siège envoient également une salve en notre direction. Deux tirs. Ha ! Il faudra plus pour passer. Les roches s’écrasent lourdement contre les parois mais les murs sont épais et profonds. Il faudra plus que ça. Je tends mon arc comme les autres et me prépare à faire feu. Lorsque je pense le moment opportun. Je relâche ma main droite rapidement suivie des cris des autres commandants. FEU ! » Le ciel s’assombrit d’une multitude de fins traits noirs qui disparaissent rapidement dans les rangs de l’armée ennemie, désormais se précipitant dans notre direction avec les échelles. D’autres forment des rangs pour laisser les archers tirer. Bientôt, nos soldats prendront aussi leurs premiers coups. La bataille s’annonce difficile. Balistes ! » crié-je. Nouveaux tirs, nouveaux morts. Tous ces cadavres ennemis me donnent une folle envie de réanimation nécromantique mais je dois tenir mon engagement. Pas de souillures à Chengdu. Pas sur la terre de mes ancêtres. Pas où se trouve mon fils. Feu ! » crie Francis à nouveau. Les bataillons commencent à agir de leur propre chef, me laissant plus de temps pour analyser le déroulé de la bataille depuis la grande porte sud. La première vague se jette contre nos murs pour s’abriter des flèches. Certains font feu avec leurs arbalètes tandis que nos arbalétriers essayent de les déloger à coup de carreaux. Visez les porteurs d’échelles ! Feu à volonté ! » Je tends la main et laisse échapper une sphère de feu qui fend l’air pour exploser à proximité d’un groupe de porteurs, l’échelle volant en éclats et avec elle, l’espoir de pouvoir atteindre notre rempart. Cependant, d’autres échelles approchent. Certaines commencent déjà à se dresser contre les murs. Les mêmes lueurs enflammées qu’il y a quelques heures se dessinent devant moi. Il y a bien plusieurs utilisateurs de magie dans l’armée ennemie. Ils préparent de nouvelles boules de feu et je n’ai rien à leur opposer vraiment. Jiawei est hors d’atteinte d’ici, elle est libre de faire ce qu’elle veut. Vivement que Gao arrive pour la faucher… Leurs projectiles magiques s’envolent rendant la pâle lueur du matin flamboyante l’espace d’un instant. Ils viennent s’écraser contre nos murs emportant avec eux plusieurs soldats disparaissant dans le feu ou projetés dans les airs suite à l’impact. Je prends moi-même une flèche et vise en direction des pieds du mur. Une cible facile, qui ne bouge pas trop… Je décoche mon trait qui vient se planter dans son dos. Je le vois s’affaisser un peu, mais il n’est pas mort. Je recommence et effectue le même tir. Cette fois-ci, mon attaque réussit et il meurt. Mon regard revient vers les échelles, il y en a plusieurs. Peut-être une dizaine. Malgré les tirs sur les porteurs, d’autres mercenaires les récupèrent pour pouvoir monter sur les murs. Elles ont l’air lourdes – ce qui est compréhensible vu la hauteur des murs- mais l’autre danger est la première tour de siège qui commence à avancer. C’est très étonnant qu’ils n’attaquent pas la porte en bois, cela leur permettrait de contourner les remparts par une entrée plus directe. Je n’ai pas vraiment le temps de m’en soucier s’ils veulent monter, qu’ils montent nous les attendons de pieds échelle se pose non loin de ma position. Je me concentre dessus et tandis que des hommes commencent à grimper dessus, je la rabats violemment sur le sol. Celui qui était au plus haut a dû bien avoir mal, je vous le d’ennemis au pied des murs ont des boucliers pour se protéger des flèches et des arbalètes. Il va falloir les réchauffer un peu. Je me tourne vers Francis, puis Harch leur intimant d’utiliser nos dernières réserves d’huile sur eux. C’est l’heure de faire des petites fritures, messieurs ! »Ils me répondent d’un hochement de tête. Les deux commandants s’éloignent un peu de la porte pour être plus près des combats lorsque les ennemis parviendront à monter, ce qui ne devrait pas tarder. Plusieurs échelles se mettent en place des deux côtés les envahisseurs avancent. Balancez-leur de l’huile les gars ! » crie Francis. Quelques instants plus tard, des hurlements particulièrement violents se mettent à résonner contre les parois protégeant Chengdu. Certains ont beaucoup souffert aujourd’hui. Tant mieux, ils le méritent amplement. Je me tourne vers les côtés de ma tour. Plusieurs hommes ont réussi à monter jusqu’aux remparts, ils sont en armures plutôt lourdes, ils ont forcé le passage en profitant des boules de feu des sorciers de Jiawei. J’en saisis un pour le faire voler dans les airs et le renvoyer s’écraser au sol. Harch profite de cette occasion pour lui trancher la gorge avec son sabre. Il combine un peu de magie avec son agilité au combat. Il sait être précis et ses coups sont vigoureux. Il est clairement atteint psychologiquement mais il se bat très bien, c’est indéniable. Cela tranche avec le niveau plutôt faible de nos soldats qui ont du mal à s’engager dans la bataille. Plus de vigueur dans les tambours ! » crié-je en direction des batteurs. La bataille s’intensifie avec le nouveau rythme des tambours de guerre. De plus en plus d’ennemis arrivent à monter, les archers et les arbalétriers sont obligés de passer à l’épée sur de plus en plus de sections du mur. Nous n’étions pas assez nombreux pour pouvoir maintenir les tirs aussi longtemps. Il va falloir se battre avec les armes au corps-à-corps maintenant. Vingt-deux ! » Je me tourne vers Francis. Il s’est mis devant deux échelles et fauche les nouveaux arrivants un à un. Il a l’air de compter le nombre de ses victimes… Son visage est déjà plein de tâches de sang. On dirait une bête sauvage lâchée au cœur du combat. Vingt-trois ! Vingt-quatre et vingt-cinq en DOUBLETTE ! » crie moins, son action permet de galvaniser les hommes à proximité de lui. Avec la Furie Rouge, vous avez clairement un avantage de taille contre des bandits et des mercenaires. Cependant, ce qui m’inquiète c’est la première tour de siège qui commence à s’approcher dangereusement du côté de Francis. Il faut l’arrêter. Je dois m’en occuper… Et j’ai justement une petite idée. Je me déplace vers l’arrière de la tour en courant et je me tourne vers la cour il y a des munitions pour balistes entreposées par Xupeng j’en soulève une par la pensée jusqu’à la tour, lentement mais sûrement pour éviter tout accident. J’essaye de rester concentrée et d’éviter de trop prendre en compte les cris et le vacarme des armes autour de moi. Voilà… Encore un petit peu… C’est bon. Je la fais passer de l’autre côté, sous le regard surpris et étonné de certains soldats pas encore engagés dans la mêlée. Je me mets en position en tir, le bras levé vers le ciel et lorsque le moment est parfait…Je projette mon bras vers l’avant comme si je jetais le projectile avec ma main. Elle fonce à pleine vitesse avant de s’encastrer dans les roues droites de la tour de siège qui désormais peut beaucoup moins bien avancer. Les ennemis ne décolèrent pas et sortent de l’engin pour courir en direction des échelles. Une vague hurlante de mécréants, armes en l’air, beuglant comme des veaux. Et tout comme nos amis les vaches, vous finirez à l’abattoir messieurs, nous y veillerons tous personnellement. Seuls les tireurs au-dessus de la porte avec moi peuvent encore maintenir un léger feu sur nos assaillants. Continuez de tirer ! » Insuffisant. Je sors moi-même plusieurs flèches de mon carquois pour les envoyer vers les ennemis… En usant de mes pouvoirs. L’entraînement à l’arc pur sera pour un autre jour. Je vise des assaillants du côté de Francis, là où ils sont déjà les plus nombreux. La mêlée s’est engagée lourdement. Les défenseurs ne se laissent pas faire, mais les auxiliaires de Jiawei se battent avec férocité ils savent très bien ce qui les attend s’ils perdent la bataille. Je vais aller l’aider. Wuhan, garde cette position, je reviens ! » Je prends appui sur les créneaux pour faire un petit bond et ensuite je me soulève par la force de l’esprit pour littéralement voler au-dessus des combattants qui me voient à peine passées. J’atterris non loin de Francis. J’invoque un fouet éthérique et commence à cravacher les misérables avortons qui menacent mon acolyte. Merci du coup de main Madame ! Trente-neuf ! » Plusieurs ennemis m’ont repéré et m’ont identifié comme la chef de la défense – en même temps ce n’est pas très difficile, il n’y a qu’une femme ici et c’est moi-, je sors immédiatement deux lames que je fais voler en leur direction. L’une vient se planter dans le torse d’un épéiste tandis que l’autre atterrit sur un bouclier. Je range le fouet pour le s’avance vers moi, hache à une main tournoyant dans les airs. Il l’abat sur moi, je le repousse violemment et il se voit projeté contre le mur. Je sors une flèche et bande l’arc. Il met son bouclier devant lui et me charge à nouveau. Hé ! Hé ! Ce n’est pas lui que je visais, mais son ami à côté qui se prend la flèche dans l’ refais un bond pour passer au-dessus de la hache et passe derrière lui. Je prends le contrôle d’une épée qui traîne par terre et la fait voler pour la figer dans le dos de l’ennemi. Moins un. Je me retourne et regarde le sol. Beaucoup d’équipements traînent. Des lames, des flèches, des haches et même des lances à certains endroits. J’en récupère plusieurs que je me mets à faire voltiger dans les airs pour les planter dans les combattants adverses. Un grand mercenaire aperçoit mon manège et me saisit par le bras, il me jette par terre. Je fais deux roulades au sol. Il est immense. Son visage est masqué mais je vois ses yeux, ce n’est pas un chinois. Elle est allée les chercher loin ses tends les mains vers lui et lui envoie une petite boule de feu. Puis un grand coup de marteau lui arrivant par derrière le cloue immédiatement au sol où son cadavre continue de cramer lentement mais sûrement. Merci Francis ! - De rien ! Quarante-quatre ! » Je me relève rapidement. Un coup d’épée ne passe pas loin de ma poitrine. Un soldat de Chengdu vient planter une lance dans le torse tandis que je passe déjà à une nouvelle cible que je soulève pour jeter par-dessus le mur pour qu’il s’écrase treize mètres plus bas. Ça secoue dans tous les sens. Il faut marcher entre les corps voir sur eux pour se déplacer tandis que les deux armées s’affrontent du mieux qu’elles peuvent. Même si certains essayent de rester près de moi pour me protéger, ils sont bien souvent obligés de me quitter pour éliminer leurs adversaires. J’essaye d’avancer du mieux que je peux dans cette mêlée pour m’approcher des créneaux. Je veux renverser des échelles pour donner un peu d’air à mes troupes. Je sors une lame que je fais voler autour de moi, un ennemi me prend pour cible sa gorge est tranchée. Un autre tente de jeter une lance sur moi, je le repousse contre les créneaux il trébuche et tombe en arrière. Un milicien de la ville en profite pour lui mettre sa hache dans la tête et s’acharner sur lui. Deux mercenaires sont entrain de battre à mort un de mes soldats avec leurs armes. Quelle bande de… Je les saisis par la gorge et les soulève à quelques centimètres du sol. Heureusement qu’ils ne sont pas très lourds ceux-là. Mon homme se relève avec difficulté, ne comprenant pas trop ce qui se passe. Il récupère sa lame et transperce ses assaillants. Je relâche les corps qui s’effondrent pour rejoindre les autres morts. Vite ! Je continue d’avancer. Deux échelles qui ne sont pas très loin. La première je tends la main droite pour la viser… Une sphère de flammes se forme dans celle-ci, lorsque c’est suffisamment costaud, je la relâche pour qu’elle aille défoncer cet accès ennemi. Ça s’est fait. La suivante, je me concentre dessus… ce qui est compliqué vu les mouvements autour de nous. Je décide de pousser un maximum quitte à pomper beaucoup dans mes réserves. Les hommes grimpant dessus n’aident pas vraiment. Avec encore un peu d’efforts, l’échelle se met à bouger… Puis à basculer de plus en plus… Et… VLAM ! L’échelle est renversée et s’écrase sur le sol… Les mercenaires avec. AAAAAAAH ! » Un des ennemis vient se faire vider les tripes juste à côté de moi. Sa bouche ensanglantée crachant du sang dans son dernier râle d’agonie. Je regarde mon armure un instant. Il y a du sang dessus. Il y en a beaucoup même. Du moins par rapport à d’ situation devient de plus en plus compliquée pour moi. Beaucoup trop d’ennemis. Je ne peux pas tous les gérer en même temps. Je lance une épée dans le plastron d’un homme qui tombe au sol. Plusieurs ennemis ont formé une protection autour d’une des échelles pour sécuriser l’accès. Je vais me charger d’eux puis je retournerai à la porte. Je me change en corbeau pour me déplacer plus facilement. Je voltige au-dessus de la mêlée compacte et difforme qui s’agite dans tous les sens au rythme des tambours et des cris de rage et de douleur. Je passe de l’autre côté de la muraille, côté ville, pour éviter les tirs de flèches perdues ou non. J’atterris à l’extrémité de la zone défendue tenue par nos valeureux défenseurs. Ils sont surpris de me voir arriver ainsi ici. Ma présence leur redonne un peu de courage et de force pour tenir cette position. Je vais dégager cette échelle là-bas. Tâchez de maintenir notre emprise sur cette partie du mur messieurs ! - Oui Madame ! » Je prends une lance disposée là. Je la projette en direction de cette échelle. J’embroche deux hommes par derrière. Ils bougent encore un instant sur leurs deux jambes avant de s’effondrer en hurlant sur leurs flancs. Ils ne sont pas morts sur le coup, mais cela ne devrait pas tarder. Je me permets de me servir dans les carquois des archers qui ne se servent plus de leurs arcs pour former une spirale de traits autour de moi. Je m’avance de quelques pas et les invite à venir me voir… S’ils le peuvent encore d’ici quelques secondes. HEY VOUS ! » crié-je en direction des assaillants. Petit cadeau de la Dame de Chengdu. » dis-je, attendre leurs réponses, je décharge mes flèches sur eux. Une véritable tempête de traits s’abat sur eux. Dans les jambes, dans les bras, dans les têtes, dans les torses, dans les dos et les épaules, les projectiles se plantent sans merci. Seuls quelques-uns ont la présence d’esprit de se cacher derrière leurs boucliers tandis que les gardes de la ville se précipitent dans leur direction pour les achever ou regagner du terrain. Vite, l’échelle !Je me mêle à la charge des soldats -qui ne dure que quelques mètres- pour me rapprocher de l’échelle. Pas le temps de me concentrer pour faire basculer l’engin. Je charge une sphère explosive que je lance sans attendre sur le bois – et les assaillants- qui explose à l’impact à leur tour. Aaaaaaah ! »J’essaye de percevoir un peu dans quelle situation nous sommes. Il y a toujours beaucoup trop d’ennemis à mon goût. J’ai du mal à estimer ce qui se passe sur l’ensemble des murs. Il faut que je prenne de la hauteur. Encore. Je prends appui sur le mur et me jette à nouveau dans les airs sous ma forme de corbeau. Je monte en profitant d’un vent ascendant pour survoler les remparts et contempler les combats qui s’y déroulent. Je vois beaucoup de cadavres et de blessés, des deux côtés. L’affrontement est âpre et aucun des deux camps ne souhaite reculer. La barbarie s’oppose à la férocité des défenseurs qui se battent non pas pour l’or, mais pour leurs familles, leur foyer et leurs ancêtres ce qui vaut la peine de se battre. Cependant, la situation est moins en notre faveur que ce que je pensais. Même si nous maintenons notre position, les ennemis arrivent quand même à se hisser sur les murs. Ils ne sont pas encore dans la ville uniquement car nos hommes leur barrent la route lorsqu’ils ne seront plus assez nombreux pour tenir. Il faudra s’attendre au pire. Je ne veux pas voir ce pire. Je me pose du côté d’Harch. Il y a une poche de résistance ennemie dans cette zone que je veux briser. Je prends place à côté de lui. Lorsque je reprends forme humaine, il égorge un homme avec son sabre avant de me saluer légèrement de la tête, les mains baignant littéralement dans le sang. Il faut tuer les hommes qui tiennent cette zone là-bas. J’ai besoin de votre appui !- A vos ordres, ma Dame. » répond-il avec un ton étrange, entre malice et plaisir. Comme auparavant, je ramasse des armes qui trainent au sol pour les envoyer fracasser les corps des assaillants. Harch se rapproche de moi pour passer devant et empêcher des hommes de pouvoir m’attaquer trop aisément. Je vois également qu’il commence à charger un sort de ténèbres dans sa main gauche. Un ennemi vient se placer devant lui avec un glaive et un bouclier. Il pousse l’ancien capitaine avec ce dernier pour le forcer à reculer. Je soulève le soldat pour le mettre légèrement en hauteur, permettant à Harch de planter son épée dans son abdomen à plusieurs reprises. Lorsqu’il a eu son compte, je le jette par-dessus les remparts. Nous continuons notre marche. Faites place ! » crie t-il pour que nos forces nous laissent avancer vers cette zone à problèmes. Nous sommes désormais confrontés à un mur d’épées, de lances et de boucliers qui protègent une autre échelle. Harch décharge immédiatement son sort de ténèbres qui vient fracasser les boucliers. Je projette quatre lances dans le tas pour les empaler sauvagement et faire de la et moi avançons de concert. Tandis qu’il tranche toutes les gorges qui traînent trop exposées, je brise les défenses des assaillants qui se retrouvent en bien mauvaise posture face à nous. Chargez ! » crient plusieurs soldats derrière nous qui rejoignent le nettoyage de cette section des murs. Je n’ai même pas besoin de m’occuper de l’échelle, plusieurs soldats se mettent à pousser avec leurs lances. Je n’ai qu’à légèrement pousser moi-même pour la faire s’effondrer sur les lames louées par Jiawei en bas des remparts. Je fais un signe à Harch avant de repartir vers la grande porte en forme de corbeau. Avec ces deux mouvements, nous devrions pouvoir mettre plus de pression sur les forces de la prêtresse. La deuxième tour de siège est encore en approche, mais elle est trop éloignée pour que je tente quoique ce soit pour l’instant. En revenant à ma zone de commandement, Wuhan accourt vers moi. L’Intendant Xupeng m’a dit qu’ils allaient bientôt manquer de munitions pour les catapultes, il attend vos ordres !- Dites-lui d’arrêter le tir et d’attendre mes prochaines consignes. Il continue de tenir la cour avec Lin Meng. La situation est gérable sur les remparts pour l’instant… »J’ai des doutes. Est-ce que mes forces auront assez d’énergie pour continuer à se battre ainsi sur les murs ? Est-ce que je devrais faire monter les troupes de Lin Meng ici en renforts au risque de laisser la cour sans protection au cas où il y aurait un débordement ? Quelque chose me perturbe ici… Mais je ne sais pas quoi exactement. C’est étrange qu’ils essaient absolument de prendre les murs. Ils n’ont pas encore touché à la porte. Continuez de tirer ! » ordonné-je aux archers de ma section, les seuls encore capables d’utiliser leurs flèches. J’approche des créneaux et charge un sort de feu. Après quelques secondes, je jette en contrebas. Ce n’est pas extrêmement puissant, mais c’est mieux que rien… Je vais tenter de lancer des projectiles magiques purs mais cette fois-ci en direction des ennemis déjà sur les murs. Je grimpe à pas de géants dans la tour et une fois au premier étage, je canalise ma magie pour projeter la mort sur nos adversaires. J’en touche plusieurs. Est-ce qu’ils sont morts ? Non. Mais ils sont blessés et cela va aider mes hommes. C’est tout ce qui compte. Je prends mon arc et conjugue mes traits avec mon psychisme pour guider les tirs vers la tête des mercenaires qui sont bien surpris de voir des flèches aux trajectoires improbables. Et oui messieurs, je suis pleine de ressources. Après quelques tirs je me dirige vers l’arrière de la tour pour faire face à la cour et ordonner à Xupeng de refaire un tir de catapultes pour maintenir la pression sur l’armée ennemie Xupeng ! FEU ! » crié-je à plein poumons. J’ai hurlé tellement fort que j’en tousse. Quelle journée… Il me faudrait bien un thé pour décompresser après tout ça… Mais je n’en ai pas vraiment le temps là. Vite ! Je retourne côté combat. La bonne nouvelle, c’est que les remparts sont de plus en plus propres. Mes efforts conjugués à ceux d’Harch et de Francis ont permis de libérer de la pression sur nos forces qui du coup ont pu reprendre leurs sections respectives. Même si certaines poches de résistance persistent, elles ne devraient pas tenir très longtemps. Les sichuanais sont enragés et ne laisseront pas tomber la bataille alors qu’ils sont entrain de gagner. Les tambours maintiennent une cadence effrénée. Nos cœurs battent ensemble dans un seul et unique but. Nous sommes unis sous les mêmes bannières pour terrasser nos agresseurs et ceux qui osent s’en prendre à notre foyer. Que les ancêtres soient témoins de notre courageuse défense ! Je me concentre lorsque j’entends les mécanismes des catapultes se mettre en marche. Je tends les bras vers le ciel pour m’aider dans mon action. Je prends le contrôle de deux rochers enflammés pour changer leurs trajectoires et les planter dans les engins de siège de Jiawei Dajisi. Ils n’avaient presque plus rien à tirer et maintenant ils ne pourront plus rien faire avec, ha ! Je reprends mon arc en main. Je suis au plus près des créneaux. Je vise les archers ennemis qui se sentent certainement trop seuls. Même si mes tirs ne sont pas nombreux, moi au moins je peux les atteindre en usant de mon esprit. Je maintiens ma cadence. Il le faut. Wuhan ! Francis a quasiment nettoyé sa partie, va aider Harch ! - A vos ordres, ma Dame ! » C’est un usage très particulier de ma garde personnelle mais pour le moment je ne suis pas menacée directement. Ils peuvent s’engager dans le combat sur les murs, cela leur permettra de s’échauffer. Cela galvanisera également nos hommes qui reprennent l’avantage peu à peu. Ce qui continue de m’inquiéter c’est l’absence de chefs ennemis. On dirait qu’ils sont tous restés avec Jiawei. Je les vois sur leurs chevaux. Ils ont l’air d’attendre quelque chose avec le reste de leurs troupes. Une bonne partie est plaquée contre nos remparts mais ils n’ont quasiment plus d’échelles pour monter. Il va se passer quelque chose. Je communique immédiatement avec Xupeng. Charge les balistes et pointe-les vers la grande porte, exécution ! Recule les catapultes et demande à Lin Meng de se préparer au combat ! » pensé-je en sa direction. Ils attendent certainement cette tour de siège, leur seconde et dernière. Elle avance très lentement à cause du terrain accidenté des rizières cramées. Qu’est-ce que tu essayes de faire Jiawei ? Nous massacrer sur les murs jusqu’au dernier pour avoir librement accès à la ville ? Qu’est-ce qu’elle attend pour attaquer la porte ? Je ne reste pas inactive à contempler l’horizon cependant. Mes soldats ont besoin de voir que la chef de la défense est personnellement impliquée dans les combats, même si les affrontements sur les murs tendent à tourner en notre faveur désormais. Je me dirige une nouvelle fois du côté de Francis pour nettoyer sa partie des sales engeances qui nous agressent. Je fais place nette autour de moi et je convoque cinq guerriers de la Terre des Dragons en armure et prêts à se battre et mourir pour leur maîtresse. Ils se placent autour de moi, armes dégainées et nous commençons à avancer ainsi. Ils me protègent d’un engagement au corps-à-corps tandis que je les couvre en faisant tomber les ennemis ou en tranchant leurs gorges avec mes lames flottantes. Comme je le constatais, les combats sont toujours aussi vigoureux et violents. C’est assez chaotique et beaucoup de cadavres sanguinolents gisent par terre, témoins de cette triste et sanguinaire journée. Flèches ! » crie un homme sans vraiment que je sache d’où cela vienne. Une volée de traits vient se planter sur les murs, mais aussi sur les combattants, tout camp confondu. Trois de mes chevaliers meurent en formant un bouclier pour leur maîtresse. Deux demeurent à mes côtés et continuent de se battre. Elle est complètement folle ! Tirer sur ses propres hommes ? Elle n’a vraiment aucune honte. Francis, au rapport ! » crié-je en apercevant Francis entrain de… D’écraser une tête avec son marteau. Il m’entend et se met à avancer vers ma position tout en fauchant quelques malheureuses victimes sur le chemin. Il a du sang partout ! J’espère que ce n’est pas le sien… Mais vu l’expression sur son visage, je crois que c’est plutôt celui des ennemis. Comment vous faîtes pour avoir autant de sang sur vous ?!- Aucune idée ! Ha ! Ha ! Ça va vous ? » dit-il tout en martelant le plastron d’un soldat ennemi tentant de l’attaquer sur le flanc. J’en soulève un autre pour que les miliciens s’en chargent sans peine. Hop ! Une hache en pleine poitrine. C’est fini pour toi gamin ! Je le jette par-dessus la muraille pour qu’il rejoigne ses copains en dessous. J’ai connu des jours meilleurs, je ne te le cache pas ! - Tu m’étonnes ! » Nous continuons à nous battre dos à dos face aux derniers résistants qui tentent encore de percer. Francis en saisit un à la gorge, il a l’air de serrer tellement fort que l’homme doit lâcher ses armes pour porter ses mains sur le bras de mon acolyte. Il le balance par terre avant d’abattre son marteau sa figure. Le visage brisé, écrasé et en sang, le soldat est mort. J’suis putain de chaud aujourd’hui ! ALLEZ LES GARS ! » crie t-il. Les ennemis commencent à l’éviter pour se rabattre sur les autres miliciens. Ils se rendent compte que Francis n’est pas un homme charmant, ni facile à tuer. Son regard de tueur allié à tout ce sang qu’il a sur lui ne lui donnent pas un air fort sympathique par ailleurs. Qu’à cela ne tienne, l’ancien SOLDAT de la Shinra les charge un à un. Il les percute à coups d’épaules avant de les tuer par son marteau ou en fauchant leurs vies avec des armes qu’il ramasse en chemin. J’en profite pour me saisir d’une lance et la projeter sur un homme s’acharnant un peu trop sur mes combattants. Il ne voit le coup venir qu’au dernier moment et c’est avec une certaine horreur qu’il accueille mon attaque dans ses côtes. Je dégaine mon arc, mets un genou à terre, flèche et je tire sur un soldat adverse. Je reste ainsi et continue de prendre pour cible des hommes trop agités à mon goût. Il faut les coincer comme des rats et les abattre sans pitié ! Ils ne veulent pas se rendre à l’évidence que la victoire va leur échapper ? Et bien soit ! Qu’ils en paient le prix ! Madame Song ! On devrait s’en sortir ! Allez voir de l’autre côté où ils en sont ! - 好的 ! »Je reprends mon apparence de corbeau tandis que mes deux invocations disparaissent avec ma transformation. Je voltige au-dessus des combats pour revenir à la tour et faire le point sur la situation d’Harch. Le combat est au même stade que du côté de Francis je dirai. Wuhan a apporté un renfort de taille pour les miliciens sous le commandement d’Harch. C’est très bien. Je prends tout de même le temps de ramasser plusieurs flèches et les faire léviter pour les envoyer sur les bandits de Jiawei. Au moins avec moi, ils n’ont pas le temps de souffrir ils se prennent les traits dans la tête. Ils meurent rapidement et sans grandes souffrances. La prêtresse devrait même me remercier tiens. Je reviens en position sur l’avant de la plateforme au-dessus de la porte sud pour voir ce que fait le reste des troupes de Jiawei face à cette situation. Et je comprends bien trop tard ce qu’ils faisaient depuis tout ce temps. MADAME SONG ! REGARDEZ ! » crie l’un des hommes. Soudainement, une large sphère de flammes se forme devant les cavaliers. Je remarque plusieurs personnes autour. Au moins trois. Ils sont entrain de canaliser leurs énergies magiques pour lancer un seul et unique sort… Une attaque de poids contre le mur. La sphère grossit de plus en plus tandis que les torrents de flammes qui la composent commencent à devenir de plus en plus instables et difficiles à contenir. Lorsqu’ils ont fini de mener les flux de la magie vers cette boule gigantesque, ils la projettent en direction de la porte. Juste en-dessous de moi. L’impact est tellement violent que les murs tremblent tandis que j’entends le bois voler en éclats. Ma première réaction est de me précipiter aux créneaux pour voir ce qu’ils font… Et bien entendu, ce qui devait arriver arriva les mercenaires se précipitent dans le gouffre créé pour attaquer la cour ! FRANCIS ! Prend ta bannière et va dans la cour IMMÉDIATEMENT ! » crié-je de toutes mes forces. La bannière bleue de mon acolyte se met en mouvement. Les soldats en faction sur sa section demeurent en place mais ceux sous son commandement direct le suivent en direction de la cour. Harch est encore trop occupée sur sa section, je dois faire appel à ma garde. Wuhan ! Remplacez Francis sur sa section immédiatement ! Je vais aider Harch un peu ! » Je vois que mes hommes se mettent à revenir tandis que le fracas des armes commence à résonner du côté de la ville. Il faut qu’ils tiennent ! Il le faut ! je ne peux pas descendre, il faut que je me charge de cette foutue tour de siège lorsqu’elle sera à portée ! Allez messieurs ! Je compte sur vous ! » pensé-je. Dgu8.